ven.
25
juil.
2014
Laurent Gounelle, 46 ans, est un spécialiste du développement personnel, formé aux sciences
humaines et à l’épistémologie à l’université de Californie de Santa Cruz. Conférencier à l’université de Clermont-Ferrand, il se consacre aujourd’hui essentiellement à l’écriture de
romans.
J’avais déjà eu le plaisir de m’entretenir avec Laurent Gounelle lors de la parution de son premier livre
« l’homme qui voulait être heureux ». Un ouvrage exceptionnel que je conseille toujours à mes patients lorsqu’ils cherchent à donner un sens à leur vie. Laurent a écrit depuis,
non seulement, un deuxième ouvrage « Les Dieux voyagent toujours incognito » (C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve contraint de faire ce qu’il n’aurait jamais
osé entreprendre mais dont il rêvait secrètement) mais un troisième roman qui vient de paraître dans une co-édition Plon et Kero (2012) et qui s’intitule « Le philosophe
qui n’était pas sage ».
ven.
25
juil.
2014
« C‘est un grand art que celui qui fixe les chefs-d’œuvre éphémères, qui rallume les génies éteints, qui fait danser des danseuses mortes, et qui garde à notre tendresse le sourire des amis perdus » (Marcel Pagnol)
A la fin des années 80, j’animais un jeu quotidien sur le cinéma à la radio. Les « studios » se trouvaient juste sur le lieu du tournage de la « Cuisine au beurre » le film de Gilles Grangier où Michel Galabru donnait la réplique à Fernandel et Bourvil. En recevant Michel Galabru comme invité, j’étais loin de me douter que ce personnage hors du commun allait prendre une place importante dans ma vie.
ven.
25
juil.
2014
« A qui ferais-je de la peine si j’étais moi-même » c’est le titre du 59ème livre écrit par Jacques Salomé, mon ami!. C’est un ouvrage qui lui tenait tout particulièrement à cœur puisqu’il a mis près de 4 ans pour le rédiger. Alain Giraud et Jacques Salomé se sont rencontrés à Roussillon dans le Vaucluse, au pays des ocres, dans la maison de ce dernier. Un instant de rêve et de pause dans le tumulte de la vie où le psychosociologue n’hésite pas à se confier et à parler avec son cœur
Alain Giraud : Pourquoi avoir choisi le titre de votre nouveau livre « A qui ferais-je de la peine si j’étais moi-même ? » Est-ce un livre autobiographique ? Ce qui pourrait bien laisser entendre que vous n’êtes pas vous-même !